Premier pas... vaseux. [PV 1]

Premier pas... vaseux.

A la lueur du matin, le vent parlait fort et nous racontait déjà ses mésaventures de la veille sans nous épargner la petite mine qu'il nous offrait. Des fibres d'eaux se pleuraient par-ci par-là, mais jusque là le voyage se passait bien. Gin, incliner sur la fenêtre du taxi dort, il ne laisse pas les tumultes de la route le réveiller, et reste impassible au trajet.
Quand le chauffeur distingua la maisonnée, il était alors 21h, un soir de Janvier, et il n'hésita pas à freiner pour permettre à Gin de reprendre ses esprits. Dans un arrêt saccadé, le jeune homme encore grisâtre se réveilla brusquement et laissa ses bras s'étirer au delà de la fenêtre ouverte. Sur sa main, une goutte vient à le caresser. Il n'en a fallut pas plus pour décider Gin qui sorti hâtivement un billet de 2000 Yens, sous le regard agacé et emplis de mépris du chauffeur.

En affichant sa mine de dégout, Gin fixait le sol boueux son bagage à la main, il présentait l'aventure jusqu'au palier et ne se sentait pas la force d'avancer. Mais, il était plutôt fatigué, voire dégouter. En se grattant le crâne il décide de se lancer et avance sans regarder ses chaussures qu'il ne tentait pourtant pas de ruiner ainsi. Quelques pas plus loin, toujours agacé par le temps mais surtout paresseux de son mouvement, Gin voyait apparaitre le grille ainsi que le grand portail du pensionnat, qui jusque là, était cachée par les traites de pluie devenaient plus lourds. En fixant son objectif d'un air incrédule, il se demandait intérieurement si il n'avait pas fait erreur, car l'endroit paraissait pour le moins... désert. Gin fessait parti de ces gens qui pensaient que ce genre de lieu étaient peuplés de marmaille à foison, mais apparemment, ce n'était pas le cas. Pas un signe de vie, un silence de mort...?

*Ptin... j'ai froid.*

Avec son allure froissée, l'arrivant mit sa main libre derrière sa nuque en continuant d'avancer en soupirant d'agacement. Pas de veine, encore de l'eau et toujours de l'eau. Il n'aime pas l'eau et commence à courir en grognant. Il n'avait pas imaginé qu'il aurait pu faire une telle entrée, mais maintenant, on a plus le temps de réfléchir, il fonce. En grimpant la première marche, il fut surprit pas l'ouverture brusque de la porte devant lui. L'antre absorbant le vent sous ses pas, Gin adopta un air abrutit et à la fois nais devant le phénomène. Quand une silhouette commençait à se dessiner devant ses yeux pleurant de la fraicheur du vent...

La nuit avait été longue et comme a l'habitude... des bruits de pas
qui faisait grincer le vieux boit du plancher des multiple endroit.
Les murs, le sol du grenier désert, mais malgré cette absence de vie
des mystérieux pas... Étrange et surtout terrifiant... Étant aucunement
endormi dans le lit douillet de cette pension ou les couverture était
chaude et confortable laissant passé aucune courant d'aire qui pouvait
faire frissonner les gens. Étant bien attentif au silence du couloirs, qui
laissait voir des portes sur sa longueur de toute sorte et de couleur
différente; un bruit perçant qui résonnait au plus profond des oreilles.
Un bruit ressemblant a un cri... A cette l'heure? Pourtant la plupart des
élèves étaient tous enfermé dans leur chambre rêvassant et quelque fois
se revaillent, mais se replongea dans leur fatigue de la journée.

Noala était inquiète des bruits de partout, elle se croyait presque folle...
Son regard explorait chaque recoin espérant de trouver la source de
ses bruits... Mais cela resta un mystère... rien bougeait... pas une mouche,
un simple sifflement du vent... rien...

Regardant le cadran, sa lumière rouge laissait voir des chiffres clignotant
trois heures du matin... Quelle malheur... Elle n'avait encore une fois pas
fermé l'œil de la nuit... Mais que lui arrivait-il, depuis sont arriver elle n'avait
pas encore trouver le sommeil... Mais par miracle aucune ride se montrait
sous ses yeux doux.

Se dirigeant vers les toilettes, elle croisa un surveillant qui lui fit un sourire
étrange qui la fit frissonner jusqu'à ses orteils. Un sentiment étrange et
elle lança un sourire de dégout même complètement apeuré. Elle entra
tranquillement dans la salle pour ensuite prendre une toilette affin de s'enfermer
entre ses quartes murs. A nouveau, elle sentait un regards dans sa direction...
Elle avait presque peur de ressortir de cette cabine, mais en rouvrant la porte...
il n'y avait rien. Enfin pour l'instant, l'homme surgit derrière elle la laissant
sursauté. Il s'approcha pour qu'elle puisse se sentir enfermé entre lui et le
mur, le même sourire de tout a l'heure surgit sur son visage. Il amena sa bouche
vers l'oreille de la neko pour lui glissé des mots...

*Surveille bien tes arrières... sa serai dommage de te voir toute seule en plein milieu
du couloir... *

Puis il partit tout simplement...

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Ses vêtements enfin enfilé, un manteau sur le dos, elle partit donc a l'extérieur
affin de se sentir enfin en liberté... Malgré le grillage autour des terres appartenant
a cette pension. Les premières lueurs du matin lever, le temps semblait bien grisâtre.
Des fines gouttelettes tombaient quelquefois, mais rien de bien grave.
Pas a pas, elle s'aventura sur l'herbe mouillé, puis une petite fille se fit apparaître.
Elle semblait perdu ou peut-être se sentait seule? Sur un banc, elle s'assit donc proche
d'elle, mais ne pouvait apercevoir son minois vu ses cheveux qui la cachait.

-Tu va bien?

Mais elle ne répondit aucunement...

-Comment t'appelle-tu petite?

-Lilia...

-c'est un jolie nom que tu as.

-Tu voudrais jouer a cache cache?

-Pourquoi pas... Cache toi je vais par la bas.

Noala commença a passer des chiffres dans son esprit quand soudain elle
entendit la grille de l'entrée s'ouvrir. Amenant son regard bleu vers cette endroit
elle aperçu un homme. Sourire aux bout des lèvres respirant la sagesse et
d'une gaieté naturelle ainsi que désarmante.

-Bienvenu a vous.

Ses yeux le piquent. Le vent, chiant... Lui arrache des larmes traitresses, mais ne lui donne pas le droit de paraitre idiot plus qu'il ne l'est. Gin choisit donc de rester serin, et de se concentrer tant bien que mal pour dessiner la physionomie de l'individu dans sa tête. Agacé mais heureux voire bouffon, il tira une larme de son bras par haine et accéléra le pas sur les marches pour rejoindre l'individu qui lui avait adressée la parole. Redressant sa tête, se conservant, il jeta son œil du côté de son interlocutrice pour lui répondre avec son air niais habituel.

"Oyo !"

Ce n'est pas comme si il ne savait pas où aller, mais... comment dire... il ne le savait pas. Non, je vais être franc, il n'est pas vraiment apte jusque là, et son sens de l'orientation ne lui permettrait pas une excursion, tout comme son estomac jusque là vide.
En s'approchant de l'individu qui avait plutôt un aspect occupé, et sans vouloir dérager, il tenta de rester souriant un tiers de son possible, de façon à paraitre normal, ce qui tôt ou tard ne sera que bafoué. Les cheveux humides et les yeux usés par le vent, il se visualisait son visage et adopta brusquement une position défensive devant la rencontre jusque là superflue voire inoffensive j'entends bien. On dirait, ridiculement, un vampire, mais c'était juste à défaut de son image, qu'il conjugue comme étant primordiale aux yeux des autres, qu'il agit ainsi. Mais voulant faire quand même preuve de sympathie, il se retourna brusquement et curieusement et se frotta la tête en s'ébouriffant, avec son haut. Puis, bêtement, il remontât son visage à hauteur de ses épaules pour adresser ses mots à cette fille.

"Heu... excusez moi ! Sauriez vous où je peut trouver l'étage des chambres du personnel ? Je suis noob ici, et je crains de ne pas me retrouver dans cette bâtisse."

Gêné, mais plutôt amusé, son air bêta refit surface, et il commença à se ronger les ongles et à vaciller des genoux, ce qui lui donnait l'allure, soit d'un fou, soit d'un individu ne cherchant qu'une chose: des toilettes. Idiot ? Non, juste timide voyons ! Pourquoi il fait ça ? Ça s'explique non ? Moi je pense que c'est la fatigue... ou la faim... mais c'est pas à moi de l'écrire.
Avec sa main droite, il fouillât dans sa sacoche de corps, et sortit un cur dent, puis le plaça habillement dans sa bouche avec ses deux doigts. Rituel ? peut être bien, de toutes façon, il est dingue je vous dis. Soudain, une petite envie étrange lui prit, car il se fixa vivement pour analyser le visage de l'individu. Esprit analyseur professionnel pensait-il. Il se pencha un peut en avant, sans se maitrisé, et observait ses cheveux, son nez, et même ses mains. Que cherchait-il ?